Qualhiryann

La geste de Maërlinn

Longévité des races

Voici un tableau qui présente les âges des races principales de Qualhiryann.

Dans la première colonne nous allons retrouver l’âge adulte, donc comprendre que c’est l’âge de départ moyen pour partir vivre sa vie, quitter le nid familial, devenir aventurier ou tout simplement paysan. C’est un peu comme la majorité que l’on connait en France à 18 ans, c’est une moyenne puisque certains bossent déjà depuis deux ans alors que d’autres finiront leurs études 5 ans plus tard.

Dans la deuxième colonne nous allons retrouver l’âge de fin de vie moyen. C’est-à-dire un âge que régulièrement les gens atteignent sans encombre particulière. Si nous poursuivons notre comparatif avec la vie réelle en France, cela correspond à l’âge de 80 ans qui est régulièrement atteint par nos anciens actuels.

Enfin, dans la troisième colonne nous allons trouver un âge vénérable, c’est-à-dire un âge que peu d’individu atteignent mais qui n’est pas si exceptionnel que cela. Actuellement, en France, pour continuer la comparaison, cet âge est d’environ 100 ans. Les centenaires sont assez rares, mais plus exceptionnels.

Dragon12050006000
Kobold103540
Drakéïde1580120
Tieffelin206075
Elfe40220250
Eladrin50300325
Nain25175200
Orc164060
Minotaure166070
Gobelin134550
Deva0350400
Humain207590

Les dragons sur Qualhiryann ont une durée de vie beaucoup plus importantes que sur d’autres mondes. Ils vivent bien pus vieux car leur arrivée à la création du monolithe et leur participation à la Grande Création leur a donner une puissance divine qui a allongé leur durée de vie. Toutefois, il n’y a pas un seul dragon encore vivant qui soit issu de la Migration des dragons.

Lors de la première passe de création, en 1987, les elfes devaient vivre environ trois millénaires. Mais avec le temps et les versions de D&D, j’ai fini par me ranger aux livres de règle. Pour le reste, rien à dire, juste un suivi de ce qui se trouve dans les livres de règles. Les humains peuvent surprendre vu que beaucoup de joueurs pourraient dire : « oui, mais à cette époque … ». Quelle époque ? Le moyen âge ? Ben raté, nous ne sommes pas au moyen âge, nous sommes dans une fiction à caractère médiéval, rien de plus. Donc les humains de Qualhiryann sont plus vieux qu’à l’accoutumée dans une fiction médiévale, juste parce qu’ils sont indirectement issus des dragons.

Les calendriers

Il existe trois calendriers sur le Qualhiryann :

  • L’âge des Dragons, qui est le premier mis en place. Il commence très précisément au moment où Maërlinn appelle les dragons et leur demande de faire vivre le Qualhiryann. Le point départ est l’acception du projet par Kilhmarion. Cet évènement à fait tressaillir le monolithe tout entier.
  • Le Calendrier Catastrophique : il démarre le jour où le premier raz de marée submerge l’estuaire du Kansaki.
  • Le Calendrier Arcanique : il est utilisé pour compter les années depuis la création de la magie, enfin, son arrivé sur le Monolithe.

Voyons les recouvrements des trois calendriers :

Schéma pour illustrer qui attends les soins d’un vrai dessinateur.

L’utilisation des calendriers.

Les dragons, quoi qu’il arrive, utilisent ce calendrier. C’est ainsi, souvent, que l’on peut les débusquer sous leur forme humanoïde. Vu qu’ils ne sont plus très nombreux et que, pour la plupart des gens en 2946, ils ont tous disparus, cela donne un indice certains. Mais très, très peu de gens le savent.

Les Arcanistes de tous bords utilisent le Calendrier Arcanique pour faire leur recherche ou rédiger leurs écrits sur les sujets arcaniques. Sinon, ils utilisent couramment le Calendrier Catastrophique, faisant mentalement les conversions de date.

Et donc, au quotidien, par l’ensemble de la population de Qualhiryann, le Calendrier Catastrophique est utilisé.

Les découpages temporels.

Dans le Calendrier Catastrophique il y a les découpages des Calandes, dont la légende du dragon est connue et il y a les mois qui n’obéissent pas vraiment à la logique.

Dans l’Âge des Dragons il n’y pas de découpage, seulement des années. Les dragons n’ont pas besoin d’un tel niveau de précision temporel. Et puis les évènements qui se sont passé dans cet âge sont tellement colossaux qu’ils ne supportent pas le besoin de précision temporelle. Une partie des historiens ont mis eu point un système d’année négatif sur la fin de l’Âge des Dragons pour étudier des évènements assez précis, mais cela ne remonte guerre à plus de cinq siècles avant la Catastrophe. Dans le Calendrier Arcanique, il n’y a pas de découpage temporel non plus. Les Arcanistes compte les jours dans l’année, tout simplement. C’est fastidieux et il faut leur cerveau surdévelopper pour comprendre un système pareil. Les dates sont donc sous ce genre de forme : jour 158 de l’année 1589.

Comment est né le projet

Je vous raconte ça très bientôt.

En l’an zéro de l’Âge des Dragons, il y a l’Acceptation. La Première Terraformation commence et dure pas loin d’une année. Tous les dragons ayant un habitat, même temporaire, la vie peut commencer tranquillement. En l’an 3 de l’AD, les dragons commencent à ouvrir des portails pour faire venir de nombreux drakéïdes du plan Draconique de manière à s’implanter sur le monolithe de façon durable. Ainsi, une première civilisation prend son essor.

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La véritable histoire de Qualhiryann

Je vous raconte ça très bientôt.

En l’an zéro de l’Âge des Dragons, il y a l’Acceptation. La Première Terraformation commence et dure pas loin d’une année. Tous les dragons ayant un habitat, même temporaire, la vie peut commencer tranquillement. En l’an 3 de l’AD, les dragons commencent à ouvrir des portails pour faire venir de nombreux drakéïdes du plan Draconique de manière à s’implanter sur le monolithe de façon durable. Ainsi, une première civilisation prend son essor.

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LA GENESE DE QUALHIRYANN

La véritable origine de Qualhiryann (2642, par le Haut Conseil Archéologique Transfrontalier)

Maerlinn KORNAGRAH avait décidé de voyager dans l’Astral. Cette elfe magicienne, extrêmement puissante, avait pris le parti de quitter son monde d’origine, le Kirim-Shö, pour découvrir de nouvelles contrées. Alors qu’elle naviguait voluptueusement dans l’Astral, elle découvrît une zone vide de tout astre. Quelques signes lui firent remarquer que la zone disposait de force Positive et Négative en grande quantité et ces forces pourraient certainement être domptées par sa puissance.

En arrivant sur place elle découvrir un monolithe gigantesque, tout noir, lisse et mat. Cet objet était là, en suspension dans le cosmos. Elle sorti donc de l’Astral pour ausculter cette masse. Lorsqu’elle s’approcha tout prêt, elle senti une énergie importante à l’intérieur et compris pourquoi les énergies Positive et Négative étaient aussi instable dans cette partie du cosmos. Elle comprit que l’effort allait être important. Elle devait aller puiser dans toutes ces ressources, toutes ses connaissances pour asservir la chose à sa volonté personnelle.

Maerlinn, toujours partante pour de nouvelles expériences, décida de dompter les énergies et de faire en sorte qu’elles se stabilisent pour donner une entité équilibrée qui pourra produire quelque chose de créatif. Elle réfléchi quelques heures à la meilleure manière de faire. Elle fini par découvrir que la monolithe disposait d’un « dessus » et d’un « dessous ». La différence était très faible, presque invisible. Mais son œil aguerri à l’observation des détails ne lui fit pas défaut et elle trouva ainsi la solution. Il suffisait de faire en sorte que les énergies se place correctement en dessous du monolithe. Ainsi il se stabiliserait dans le cosmos il deviendrait possible fabriquer quelque chose dessus.

Maerlinn pris son courage à deux mains et commença par travailler l’énergie Positive. Mais cette dernière était très sauvage, très chaotique. Cela ne ressemblait pas du tout à ce qu’elle avait connu dans son monde d’origine. Elle décida donc de travailler l’énergie Négative, sans conviction, mais se disant que cela ne pourrait pas être pire. Contre toute attente, cette énergie, habituellement complexe et difficile à contrôler, se laissa manipuler pour prendre une forme acceptable. Maerlinn en fit une sorte de bol géant, avec un pied. Elle façonnât l’énergie Négative de manière à la stabiliser dans le cosmos, offrant ainsi un piédestal colossal qui pourra accueillir quelque chose. Du coup, elle comprit qu’elle pourrait utiliser l’opposition pour maintenir l’énergie Positive. Elle en fit une sorte d’œuf géant qu’elle plaça au centre du bol d’énergie Négative. L’opposition entre les deux énergies fit que les blocs ne se touchaient pas et s’équilibraient, de manière stable.

Mais rapidement, cette modification attira d’autres forces. Maerlinn, dans sa grande expérience, s’en doutait bien, mais elle fût surprise par la rapidité à laquelle ce phénomène se produisit. Cette partie du Cosmos commençait à vraiment lui plaire. Elle comprit rapidement qu’elle allait faire de grandes choses et vivre une très belle aventure. Rapidement, quatre forces firent leur entrée en scène : l’Air, le Feu, l’Eau et la Terre. Les énergies, vues de loin, représentaient un coquetier avec un œuf dedans. Les éléments tournoyèrent au-dessus de l’œuf pour former un tourbillon incessant et puissant. Maerlinn fut un peu étonnée de voir que le coquetier, pourtant fait d’énergie Négative, tenait bon, ne bougeait, voir même recherchait en permanence la stabilité de l’ensemble. Le monolithe quant à lui, restait au dessus de l’œuf, comme en équilibre, mais pas très stable. Il penchait toujours d’un côté, se rétablissant au gré des mouvements de l’œuf instable dans son coquetier.

Les éléments tournèrent et tournèrent pendant des éons. Cette vision aurait fait perdre la raison à plus d’un, mais Maerlinn tint bon et fini par trouver un moyen de stabiliser définitivement cet ensemble. Elle façonna les éléments pour qu’ils se positionnent dans un stade d’enchainement. Elle analysa les forces en présence et se rappela les cours de son premier maître de magie sur les éléments. Si on les assemble dans le bon ordre on peut arriver à les faire cohabiter, les uns contre les autres, le tout étant de trouver le bon équilibre. Elle les façonna de manière à ce qu’il porte chacun sur un côté du monolithe et se rejoigne sur l’œuf d’énergie Positive.

Et l’équilibre parfait se mit en place. Quelques soubresauts se firent sentir encore pendant quelques temps, mais rien d’alarmant. Les forces élémentaires tombaient de chaque côté du monolithe. Cela formait de belles écharpes d’élément pur, l’Eau opposée au Feu et l’Air opposé à la Terre. A la jonction de chaque élément, un nouvel élément se constituait apportant ainsi un léger mouvement et un soutien plus fort pour le monolithe. Entre l’Eau et la Terre on vit la Vase. Entre la Terre et le Feu on vit le Magma. Entre le Feu et l’Air on vit la Fumée. Entre l’Air et l’Eau on vit la Glace. Ainsi les éléments étaient venus compléter le tableau et tout était rassemblé pour procéder à la création d’un monde, le plus beau rêve de Maerlinn.

Elle allait se mettre au travail pour créer un monde complet sur le dessus du monolithe lorsqu’elle s’aperçu qu’un petit détail lui avait échappé alors qu’elle domptait les éléments et les énergies. Sous le monolithe, au centre, un anneau était venu se placer. Cet anneau, gigantesque bien sûr, était un ensemble de portails. Chacun d’eux menait à un monde extérieur. Maerlinn, habituée des voyages planaires, reconnus de suite ces portails. Elle était un peu ennuyée de la chose car elle était partie du Kirim-Shö justement pour ne plus avoir à subir l’influence de ces mondes extérieurs.

Après un petit moment de désolation et d’introspection, elle reprit le cours des choses, se disant que cela devait être inévitable. Ces mondes extérieurs ont tellement de puissance et d’influence qu’il devait être impossible d’y échapper et qu’ils devaient, eux aussi, apporter quelque chose dans la création d’un monde.

Alors Maerlinn entreprit de façonner la surface du monolithe, se disant que, tel qu’il est fait, les habitants du monolithe tomberaient sur les bords et donc n’iraient pas voir en dessous ce qu’il se passe. Donc elle commença son œuvre, un peu comme un peintre commence un tableau. Il pense sa figure, commence une esquisse, trace les traits puis y mets de la couleur. Maerlinn suivi le même processus pour mettre en place la géographie du monolithe : mer, montagne, fleuve, colline, chaque morceau prenait sa place, gentiment, calmement. A la fin, cela donna un ensemble harmonieux, qui ne devrait pas bouger. Certes il y avait le danger des bords du monolithe, mais elle donnera à certains habitants des connaissances pour qu’ils fabriquent des légendes pour faire en sorte que les habitants ne s’approchent pas.

Elle s’est servie des éléments pour former la géographie. Le côté de l’Eau et couvert par une mer, à vrai dire un océan. Le côté de la Terre est protégé par une très haute montagne, se terminant par une falaise abrupte qui conduit directement au cœur du plan élémentaire de la Terre. Le côté du Feu est fait d’une plaine désertique, avec une énorme source de chaleur. Enfin, le côté de l’air et une banquise, constituée pour moitié par une mer gelée en permanence et l’autre moitié par une plaine ressemblant à une toundra. Vers le centre, les paysages sont très variés et on peut voir s’enchainer des montagnes, très hautes et des forêts, des plaines et des grand lacs. Une seule mer intérieure existe sur le continent unique du monolithe.

Maerlinn était très contente de son travail. Elle décida que le monolithe devait avoir un nom, à présent. Cela donnerait de la vie, car les choses vivantes ont un nom. Elle réfléchit et se rappelât de son deuxième maître de magie, Lyrian. C’est celui qui lui enseigna tout ce qu’elle sait en matière de création magique. C’est grâce à son enseignement qu’elle a réussi à faire de ce monolithe un endroit sympathique et beau à regarder. Dans le Kirim-Shö, monde se dit Koual. Elle décida que ce nouveau monde et était celui de Lyrian. Elle décida donc de l’appeler : Qualhiryann. Au moment où elle prononça ce nom, un vague d’énergie entoura le monolithe et son piédestal et une onde parti loin dans le cosmos, comme pour annoncer une naissance. Maerlinn comprit à ce moment qu’elle ne serait plus maitresse de l’avenir de Qualhiryann et qu’elle allait devenir une Spectatrice de l’évolution de son œuvre.

LA GENESE DU QUALHIRYANN

Par METH’KAFF le pieu, historien d’on ne sait où

Je vais vous conter l’histoire de la GENESE de QUALHIRYANN. Vous trouverez dans les lignes qui suivent tous les secrets sur l’apparition et l’évolution de ce monde un peu exotique.

Le Commencement

En premier lieu il y avait un grand monolithe posé sur le néant cosmique. Sur ce monolithe il n’y avait rien, à peine quelques aspérités. Une déesse qui passait par là vit ce monolithe et le trouva un peu plat. Elle remarque tout de même que la matière était transformable. Elle décida de prendre sa dague pour sculpter la surface de ce monolithe. Ainsi des formes apparurent et formèrent par-ci des monticules, par-là des creux. La déesse vit cette gravure et fut quelque peu déçue qu’il n’y ait pas plus de mouvement. Alors les larmes lui montèrent aux yeux et tombèrent sur le monolithe, allant remplir les creux. A partir de ce moment il y eu une formidable transformation. Le monolithe se mit à vibrer, entrant dans une résonnance importante. Les monticules et les creux prirent des couleurs très diversifiées et le monolithe perdit son côté noir, complètement sombre à sa surface. Les larmes de la déesse prirent du mouvement en suivant les aspérités entre les monticules. La déesse souffla sur le monolithe pour chasser les morceaux de matière enlevés lors de sa gravure et son souffle tournoya longtemps au dessus du monolithe. Ceci attira une autre Déesse, NAZATI. Elle vit cette eau et décida qu’elle ne pouvait pas rester sans rien faire. Elle rendit l’Eau plus forte, plus essentielle. Ainsi arriva la vie. Les monticules se changèrent en différentes choses. Pour les plus effilées cela donna des montagnes, hautes, très hautes, pour les plus arrondis cela donna des collines, à la pente douce. Certains creux ne se remplir pas complètement des larmes et donnèrent des plaines. Des plantes poussèrent sur ces zones, différentes selon la hauteur de chacune d’elle. Mais il faisait très froid et certaines plantes ne résistèrent pas longtemps. Alors la déesse, entoura le monolithe de ses mains, soufflant encore mais cherchant à faire profiter de sa chaleur intérieure. Certains monticules, les plus pointus, s’enflammèrent ; le Feu était né. Ce monde était paisible et sans problème. Enfin pas si paisible car le réchauffement fit apparaître des volcans. Leurs explosions successives et répétées sont la cause de la création des montagnes. Toutefois ce monde était un peu vide et sans grand mouvement. Alors la déesse décida de faire des créatures vivantes pour peupler ce monde. Elle avait envie de créatures qui pourraient faire évoluer ce monde sans elle. Elle voulait regarder ce spectacle s’en avoir à y prendre part. C’est pour cette raison que cette déesse s’appelle maintenant, pour les populations, la Grande Spectatrice. Pour parfaire ce spectacle elle décida donc de faire appel à des dragons. Elle demanda à chacun des dragons du plan Draconique de faire venir un exemplaire de sa race. Ainsi les dragons furent les premiers habitants du Qualhiryann.

Les Dragons firent des jours et des nuits. Ils mirent en place un astre lumineux pour avoir de la lumière pendant un temps et que cette lumière s’éteigne pendant le même temps. Cela leur servi à faire d’autres plantes. Ainsi la photosynthèse devint possible. De plus ils décidèrent que les jours et les nuits seraient toujours d’égale durée. Mais il arriva un moment où ils eurent du mal à compter les jours. Alors ils cherchèrent une solution pour facilement savoir quel jour ils étaient. Lorsqu’ils mirent en place l’astre du jour ils ne virent pas qu’un petit morceau s’en détachait. Ce morceau ce mit à tourner autour du Monolithe. Ses révolutions furent remarquées et étudiées. Elles faisaient 17 jours très précisément. Les dragons décidèrent que se serait la première unité de mesure des jours ; ils l’appelèrent la Calande. Ce morceau d’astre, en s’éloignant, perdit de son intensité et devint bleu. On l’appelle maintenant la Lune Bleue.

Un peu plus tard les Dragons retrouvèrent le même problème que pour les jours ; ils ne pouvaient plus compter les Calandes. Alors ils cherchèrent un autre astre du même genre que la Lune Bleue. Mais il n’y en avait pas. Alors un Dragon plus fougueux que les autres, et surtout moins patient, parti en direction de l’astre du jour. Là il décida d’en couper un morceau et de le faire tourner autour du Monolithe. Malheureusement il ne comprit que trop tard qu’il tentait l’impossible. Il parvint effectivement à découper un morceau mais au péril de sa vie. A cause de l’explosion qui s’en suivit, le morceau fut projeté beaucoup plus loin que le Lune Bleue. Le dragon qui fit ce geste était un dragon d’ambre. Au moment même de l’explosion il fut inclut et mélangé au morceau de l’astre du jour. C’est ainsi que cette lune est la Lune Jaune. Certaines légendes continueront de dire que l’esprit du dragon est resté dans la lune ; ce serait pour cette raison que la Lune Jaune tourne de manière à faire une révolution de 5 Calandes précisément. Les Dragons décidèrent de donner des noms à chaque Calandes et à chaque Girations. Ils décidèrent d’appeler les Calandes par des noms en rapport avec les éléments ; ainsi nous avons la Calande du Poisson pour l’Eau, du Diamant pour la Terre, du Moineau pour l’Air et du Brasier pour le Feu. La cinquième Calande fut appelée la Calande de la Nuit pour que le dragon d’ambre est le temps de dormir. En effet lors de cette Calande on ne voit presque pas la Lune Jaune. Dans un autre de mes traités sur les Eléments vous pourrez comprendre pourquoi la Nuit est le cinquième élément et non pas un simple temps sans lumière naturelle. Revenons sur les Lunes. Il arrive parfois, à peu prés toutes les girations, qu’elles coïncident parfaitement ; c’est-à-dire qu’elles soient superposées à la vision de l’observateur. Lorsque ceci arrive il s’agit de la Lune Verte. Cette étape sert beaucoup de référence aux religions car c’est un phénomène hautement tellurique et mystique que seuls les prêtres des religions arrivent à expliquer.

Après cette première création les dragons s’installèrent sur la surface façonnée du Monolithe pour commencer leur réel travail. Ils choisirent la plus grande. Ils se basèrent dans une péninsule au Sud. En fait ils décidèrent que chaque côté aurait le nom d’un des points cardinaux. Les dragons créèrent la magie pour la donner aux habitants du Qualhiryann. Ils travaillèrent longtemps pour mettre au point toutes les arcanes de la magie. Mais une fois finie la magie n’attendait plus que des magiciens, hors il n’y avait personne d’autre que des dragons. Alors ils commencèrent à débattre du problème. Tant et si bien qu’ils finirent par ne pas être d’accord du tout et se chamaillèrent à tel point qu’ils se fâchèrent. Permettez-moi un aparté sur les Dragons eux-mêmes. Les Dragons arrivés à la suite de l’appel de la Grande Spectatrice sont des Dragons dits « Minéraux » car ils ont une peau qui ressemble à certains minéraux. Au moment où ils se fâchèrent vraiment ils décidèrent de créer de nouveaux Dragons. Certains créèrent les Dragons « Chromatiques » d’autres les dragons « Métalliques ». En premier les Chromatiques eurent un comportement violent et acerbe à l’égard des Métalliques. Mais les Minéraux ramenèrent le calme et la sérénité. Mais tout ceci ne réglait pas le problème de savoir qui aurait la magie. Car même si de nouveaux Dragons étaient là, il était impensable de rester dans cet état.

Alors les dragons demandèrent à un dieu de créer une race : les elfes. Ils donnèrent la magie en cadeau de bienvenue. Ils indiquèrent les forêts comme lieu d’habitation et leur demandèrent de veiller au juste équilibre des choses. Mais en lançant leur appel les dragons se sont un peu divisés. Les dragons chromatiques demandèrent des elfes au dieu des forêts mais les dragons métalliques demandèrent des elfes au dieu des créatures. Alors le premier donna des elfes des forêts, bons et justes, alors que le second donna des elfes noirs, vivant cachés sous terre. La grande discordance entre les deux peuples allait entraîner des graves crises. Puis les elfes des deux camps, ne pouvant pas s’affronter directement pour régler leurs différents, demandèrent conseil aux dragons. Ceux-ci commencèrent par être étonné de ce genre de question. Mais les dragons métalliques se sont occupé très rapidement d’aidé les elfes noirs, plus connu sous le nom de drow, dans leur quête sur la race des forêts. Ils appelèrent d’autres dieux pour leur demander de créer d’autres créatures qui pourraient supporter la lumière du jour. Des créatures qui pourraient prendre le pouvoir pour les drows mais qui resteraient à leur service. Les dragons de métal pendant ce temps ne voulaient pas aider les elfes dans des actions guerrières. Mais devant les massacres occasionnés par les drows et leurs alliés, les dragons de métal furent obligés de demander de l’aide à un autre dieu. C’est ainsi qu’un autre dieu créa une autre race : les nains.

Ce dieu, ROKAMBUL, fut contacté deux fois. Le premier, malheureusement, fut ZARAX. Il lui demanda de faire des petits hommes qui vivent dans les montagnes de façon à extraire le minerai. Mais en fait il prit les premiers nains pour les envoyer dans les entrailles des plates-formes et en faire ses sujets. Une fois la supercherie découverte, ROKAMBUL refit son œuvre pour la placer au-dessus des premiers nains. Ils devinrent les gardiens des montagnes.

Ensuite ces nouvelles races firent des plantations et des élevages. Il leur fallait pouvoir compter sur de l’eau venant du ciel, des températures différentes à certaines époques de l’année. La notion même d’année était très confuse. Les habitants se retournèrent vers les Dragons. Ceux-ci furent assez embêtés, mais ils se rappelèrent de leur première création à leur arrivée. Ainsi ils déterminèrent qu’une année serait faite de 5 Girations. Ils invoquèrent l’esprit du dragon ambré de la Lune Jaune pour lui demander de faire des variations de températures et des précipitations. Ainsi nous pouvons voir maintenant la Giration Débutante, qui commence l’année, la Giration Chaude, pendant laquelle la température monte et permet le mûrissement des récoltes, la Giration Riche, pendant laquelle la température redescend pour laisser la place à de forte pluie ; on en profite pour faire les récoltes ; la giration Soufflante, pendant laquelle le vent souffle très fort et la pluie tombe dru pour tout nettoyer à la surface des plates formes, et enfin la giration Froide, pendant laquelle la température descend si bas que l’on peut voir de la neige et de la glace.

Les guerres continuèrent de temps en temps mais uniquement de façon sporadique. En effet les dragons faisaient en sorte qu’il y ait un certain équilibre. Mais un jour les dragons partirent dans un long et profond sommeil, tant et si bien que les habitants du Qualhiryann crurent qu’ils étaient partis définitivement.

Voilà pour la Genèse du QUALHIRYANN. J’espère avoir été concis et instructif. Vous trouverez un autre de mes traités plus loin. Il traite de la catastrophe et des 2900 années qui suivent. Dernière précision : pour vous donner un point de repère, la période qui va du Commencement à la Catastrophe dure 180 000 années environ.

La Génèse

Dans cette section, nous allons voir la Génèse de Qualhiryann.

Vous pourrez lire différentes versions de la chose car plusieurs auteurs dans le temps ont raconté leur histoire, leur version de la chose.

Toutefois vous aurez une version faite complètement hors Role Play par moi-même pour vous donner une version réelle et cohérente.

Vous aurez aussi une page où je vous raconterais la Génèse dans al réalité de cet univers, pourquoi je l’ai créer et pourquoi comme cela. Vous aurez des explications sur certains détails.

Les pages concernées sont les suivantes :

Les Humains

En l’an zéro de l’Âge des Dragons, il y a l’Acceptation. La Première Terraformation commence et dure pas loin d’une année. Tous les dragons ayant un habitat, même temporaire, la vie peut commencer tranquillement. En l’an 3 de l’AD, les dragons commencent à ouvrir des portails pour faire venir de nombreux drakéïdes du plan Draconique de manière à s’implanter sur le monolithe de façon durable. Ainsi, une première civilisation prend son essor.

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Les Dévas

En l’an zéro de l’Âge des Dragons, il y a l’Acceptation. La Première Terraformation commence et dure pas loin d’une année. Tous les dragons ayant un habitat, même temporaire, la vie peut commencer tranquillement. En l’an 3 de l’AD, les dragons commencent à ouvrir des portails pour faire venir de nombreux drakéïdes du plan Draconique de manière à s’implanter sur le monolithe de façon durable. Ainsi, une première civilisation prend son essor.

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Les Gobelins

En l’an zéro de l’Âge des Dragons, il y a l’Acceptation. La Première Terraformation commence et dure pas loin d’une année. Tous les dragons ayant un habitat, même temporaire, la vie peut commencer tranquillement. En l’an 3 de l’AD, les dragons commencent à ouvrir des portails pour faire venir de nombreux drakéïdes du plan Draconique de manière à s’implanter sur le monolithe de façon durable. Ainsi, une première civilisation prend son essor.

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